Les motifs de la participation électorale aux élections municipales québécoises. Le cas de 2017

8 mars 2021

NOUVELLE PUBLICATION

Cahier de recherche électorale et parlementaire - Numéro 20

Par François Gélineau et Philippe Dubois (doctorant) pour la Chaire de recherche sur la démocratie et les institutions parlementaires.

La participation électorale, comprise comme l’exercice du vote par les citoyens éligibles à le faire, est à la fois un sujet d’étude faste et une préoccupation certaine, à la fois pour les chercheurs et les autorités responsables des scrutins. Bien que la question ait été largement étudiée en contexte d’élections fédérales et québécoises, plusieurs interrogations demeurent en ce qui concerne la participation électorale municipale.

Au Québec, à la suite d’amendements faits à la Loi sur les élections et les référendums dans les municipalités (LERM), toutes les élections municipales ont lieu simultanément, à date fixe, le premier dimanche de novembre tous les quatre ans. Or, le taux de participation électorale à ce palier de gouvernance peine à franchir la barre des 50%, loin derrière celui constaté aux élections générales québécoises.

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