Classe de langue wendat

Onywawenda’ yeienhwi’s (j’apprends notre langue)

13 décembre 2019

Est-il possible de ressusciter une langue officiellement morte?
Oui, répondent les Wendats, qui ont entrepris la tâche colossale de reconstruire celle de leurs ancêtres

« Lorsqu’une langue n’est plus la langue maternelle de personne, les linguistes la qualifient de « morte ». Et ils la disent « éteinte » lorsqu’elle ne compte plus aucun locuteur, comme c’était le cas du wendat. « Je préfère parler de langue “endormie” », dit Megan Lukaniec »

À lire : un très bel article du magazine L'Actualité sur la revitalisation de la langue wendat, auxquels prirent part à divers titres au fil des ans Megan Lukaniec, diplômée à la maîtrise au département (2010) et aujourd'hui professeure à l'Université de Victoria (B.C.), Louis-Jacques Dorais, professeur émérite au département, et Louis-Karl Picard-Sioui, diplômé à la maîtrise au département (2003) et aujourd'hui écrivain, poète et commissaire en arts visuels.
Consultez l'article paru le 4 décembre 2019, à :  WENDAT