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Crédits
Reconnaissance d'acquis maximale: 45
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Reconnaissance d'acquis maximale: 45
Durée estimée à temps complet
Places disponibles
Cote R
Dernière candidature collégiale ayant reçu une offre d'admission avant la liste d'attente à la session d'automne 2022
«Mon parcours au baccalauréat en criminologie m’a permis de développer un regard critique sur plusieurs sujets tabous dénoncés par la société. La criminologie, c’est aller au-delà des présupposés, c’est tenter de comprendre le contrevenant, ses schèmes de pensée ainsi que son cycle délictuel. C’est aussi faire place aux victimes, souvent délaissées dans le processus judiciaire. Stagiaire au centre jeunesse de ma région, sur la Côte-Nord, j’ai su mettre en pratique les connaissances acquises lors de mon parcours universitaire. Avec l’aide d’une professeure éloquente m’ayant indéniablement transmis la passion pour la victimologie, j’ai eu la chance de faire partie du comité d’implantation des rencontres détenus-victimes à Québec, de faire une conférence sur la justice réparatrice à Sept-Îles; toutes des expériences qui m’ont réellement donné la piqûre afin de poursuivre aux études supérieures en criminologie.»
«J’ai su que je voulais travailler en criminologie alors que j’étais très jeune. Le domaine de la justice pénale étant partie prenante de ma vie en raison de l’influence professionnelle des membres de ma famille, je ne pouvais trouver un domaine qui me passionnerait davantage. La formation acquise, ainsi que mes activités professionnelles et de bénévolat, m’ont dépeint un portrait fort élogieux de diverses disciplines en justice pénale. Étant toutefois soucieuse d’acquérir des connaissances pratiques en criminologie, j’ai investi une grande partie de mes temps libres auprès d’organismes communautaires. Ces acquis m’ont permis de mieux cerner plusieurs enjeux relatifs à la justice pénale, ce qui m’a amenée à développer un vif intérêt pour la recherche.»
«Le stage dans la fonction publique m’a permis de me dépasser. Dès mon arrivée, les membres du personnel du Bureau d’aide aux victimes d’actes criminels (BAVAC) m’ont accueillie dans leur équipe et m’ont permis d’apporter de nouveaux points de vue en lien avec leur travail. Tous m’ont fait confiance en me laissant une belle latitude pour contribuer aux projets en cours et à venir, développant ainsi mon autonomie. Pour moi, ce stage a été une première expérience de recherche très intéressante me confirmant ainsi que c’est la voie que je veux suivre!»
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