Baccalauréat en criminologie, Université Laval

Baccalauréat en criminologie

90

Crédits

Reconnaissance d'acquis maximale: 45

3 ans

Durée estimée à temps complet

140

Places disponibles

28,508

Cote R

Dernière candidature collégiale ayant reçu une offre d'admission avant la liste d'attente à la session d'automne 2023

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Témoignages

Contenu
Corps

Catherine Voyer

Diplômée du baccalauréat en criminologie et à la maîtrise en  travail social

Catherine Voyer«Mon parcours au baccalauréat en criminologie m’a permis de développer un regard critique sur plusieurs sujets tabous dénoncés par la société. La criminologie, c’est aller au-delà des présupposés, c’est tenter de comprendre le contrevenant, ses schèmes de pensée ainsi que son cycle délictuel. C’est aussi faire place aux victimes, souvent délaissées dans le processus judiciaire. Stagiaire au centre jeunesse de ma région, sur la Côte-Nord, j’ai su mettre en pratique les connaissances acquises lors de mon parcours universitaire. Avec l’aide d’une professeure éloquente m’ayant indéniablement transmis la passion pour la victimologie, j’ai eu la chance de faire partie du comité d’implantation des rencontres détenus-victimes à Québec, de faire une conférence sur la justice réparatrice à Sept-Îles; toutes des expériences qui m’ont réellement donné la piqûre afin de poursuivre aux études supérieures dans le domaine.»

Corps

Angy Riendeau-Dalphond

Diplômée du baccalauréat en criminologie et à la maîtrise en criminologie

Angy Riendeau-Dalphond«J’ai su que je voulais travailler en criminologie alors que j’étais très jeune. Le domaine de la justice pénale étant partie prenante de ma vie en raison de l’influence professionnelle des membres de ma famille, je ne pouvais trouver un domaine qui me passionnerait davantage. La formation acquise, ainsi que mes activités professionnelles et de bénévolat, m’ont dépeint un portrait fort élogieux de diverses disciplines en justice pénale. Étant toutefois soucieuse d’acquérir des connaissances pratiques en criminologie, j’ai investi une grande partie de mes temps libres auprès d’organismes communautaires. Ces acquis m’ont permis de mieux cerner plusieurs enjeux relatifs à la justice pénale, ce qui m’a amenée à développer un vif intérêt pour la recherche.»

Corps

Miriam Thibault 

Diplômée en techniques policières et du baccalauréat en criminologie, et enquêtrice au Service de sécurité et de prévention à l’Université Laval 

Miriam Thibault «En terminant mon diplôme d’études collégiales en techniques policières, j’étais animée par le désir d’en apprendre davantage sur le phénomène de la criminalité. Peu de temps après, j’ai appris avec joie que l’Université Laval offrirait pour la première fois une formation en criminologie et j’ai eu la chance d’être admise dans la première cohorte de ce programme. Durant mon parcours universitaire, j’ai obtenu un emploi étudiant au Service de sécurité et de prévention de l’Université Laval (SSP). Après 3 ans d’études, étant devenue bachelière en criminologie et ayant cumulé des années d’expérience au sein du SSP, j’ai eu l’opportunité de poursuivre ma carrière sur le campus.  Bien que je n’ai pas le titre de criminologue dans le cadre de mes fonctions, les compétences acquises durant la formation en criminologie m’ont permis d’occuper différents postes notamment dans le domaine des enquêtes administratives, de la prévention de la criminalité, de la relation d’aide et du soutien aux personnes en situation de précarité. Mon parcours professionnel démontre qu’il est important de garder l’esprit ouvert quant aux différentes opportunités de carrière qui peuvent s’offrir aux étudiants en criminologie, et ce, dans des milieux parfois insoupçonnés et des plus stimulants.»