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Crédits
Reconnaissance d'acquis maximale: 46
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Reconnaissance d'acquis maximale: 46
Durée estimée à temps complet
Places disponibles
Cote R
Dernière candidature collégiale ayant reçu une offre d'admission en date du 15 août 2024
«À la suite ma formation collégiale en techniques d’intervention en délinquance et de mes expériences de bénévolat et de travail dans différents organismes communautaires de la région de Québec, j’ai constaté que je voulais en apprendre davantage sur les problématiques de la délinquance. Le baccalauréat en travail social, que j’ai complété en 2000, m’a permis d’ouvrir mes horizons sur l’étendue de la pratique, d’intervenir dans des situations complexes et de comprendre l’importance de la relation de confiance auprès des gens que l’on accompagne. Quelques années plus tard, j’ai décidé d’orienter ma carrière vers les soins infirmiers pour pouvoir offrir davantage de services de santé aux plus vulnérables. Encore aujourd'hui, mes études en travail social me servent au quotidien au sein des équipes multidisciplinaires dont je fais partie.»
«Après avoir travaillé 2 années en services de garde et une douzaine d'années dans le milieu de l'ébénisterie et de la construction, j'ai fait un retour aux études à l'âge de 39 ans en technique de travail social au même cégep que j'avais quitté 20 ans plus tôt! J’ai poursuivi ce retour aux études au baccalauréat en travail social à l'Université Laval. Souhaitant d'abord travailler de la clientèle adolescente, j’ai réalisé qu'il n'existe que très peu de services pour les hommes. Cette réflexion m’amena à choisir un stage au sein de l’organisme AutonHommie, un centre de ressources pour hommes à Québec, dont je fus le directeur pendant huit ans. J’ai finalement choisi de terminer ma carrière à titre de coordonnateur du dossier de la santé et du bien-être des hommes (SBEH) au ministère de la Santé et des Services sociaux.»
«Je me suis inscrite au baccalauréat en service social, car j’ai toujours su que je voulais aider les gens. La formation à l’Université Laval m’a permis d’acquérir les compétences nécessaires à la réalisation de ma profession. De plus, avec deux stages en milieu de pratique, je me sens plus compétente pour aider la clientèle dans le besoin. Le baccalauréat m’a aussi permis de m’impliquer dans l’association étudiante, chose que je n’aurais jamais pensé faire. Mon engagement auprès des étudiants m’a aidée à développer mon leadership, ma confiance en moi et mon sentiment d’utilité.»