Doctorat en sociologie, Université Laval

Doctorat en sociologie

90

Crédits

Reconnaissance d'acquis maximale: 4

4 ans

Durée estimée à temps complet

Témoignages

Contenu
Corps

Nathalie Gagnon

Étudiante au doctorat en sociologie et conseillère principale, stratégie et innovation en communications d’entreprise chez Desjardins 


Nathalie Gagnon«Doctorat en sociologie (Les interactions entre professionnels des communications et cadres dans les organisations du savoir : Évolution des pratiques et rapports de pouvoir), sous la direction de Daniel Mercure. Il y a de ces parcours que l’on appelle encore « atypiques » dans les milieux professionnels... Ils sont pourtant plus fréquents qu’on le pense, par obligation ou par choix! C’est avec ce principe appliqué à moi-même que je me suis retrouvée à faire un doctorat en sociologie.  D’abord musicienne, ensuite diplômée d’une maîtrise en communication publique, j’œuvre maintenant dans le domaine des communications. De fil en aiguille, cette expérience en organisation et en communication a piqué ma curiosité et m’a dirigée vers la sociologie. Ce doctorat n’a pas besoin de raison d’être particulière : il est enrichissant. Purement et simplement. Pour moi, pour ceux que je côtoie, pour ma compréhension du monde. Et parce que laisser la porte ouverte vient aussi avec l’émerveillement. Et vous, quel sera votre itinéraire?»

Corps

Jean-François Fortier

Diplômé du doctorat en sociologie

jean-francois-fortier-ulaval«J’ai commencé mes études en sociologie au tournant de l’an 2000. Je venais tout juste de terminer un programme en sciences humaines au Cégep de Sherbrooke. Au départ, je n’étais pas certain de mon choix de carrière. J’avais donc entamé un certificat en sociologie afin d’explorer davantage cette discipline. Finalement, j’ai eu la piqûre! Aujourd’hui, je détiens un doctorat en sociologie. Durant mon parcours universitaire, j’ai notamment développé une expertise particulière sur les questions autochtones, contribué à l’organisation de divers événements scientifiques et mis en place un journal scientifique et interdisciplinaire mettant en valeur les travaux de recherche de la relève portant sur le développement durable. J’occupe maintenant un poste de conseiller principal en politiques stratégique autochtone au sein de la fonction publique fédérale, soit le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH). Le CRSH promeut et finance la recherche dans les sciences sociales et humaines. Grâce à ma formation en sociologie, je contribue significativement à l’essor et à l’épanouissement de la recherche en sciences sociales et humaines, et j’ai aussi la chance de pouvoir participer aux initiatives en matière de recherche avec et par les Autochtones. Je contribue également au développement des politiques d’équité et de diversité ayant un impact sur la délivrance des programmes du CRSH. Enfin, je souhaite enseigner à l’université afin de transmettre ma passion pour la sociologie et les études autochtones tout en poursuivant mes travaux de recherche dans le domaine de la gouvernance environnementale et territoriale.»

Corps

Luc Lelièvre

Étudiant au doctorat en sociologie 


Nathalie Gagnon«C’est par la lecture des ouvrages du regretté sociologue d’origine polonaise, Zygmunt Bauman, que j’ai retrouvé le goût de faire un (autre !) doctorat. Bien que mon baccalauréat ait été en géographie humaine, mon bloc complémentaire se rapportait à la sociologie, soit les statistiques en sciences sociales. Ma maîtrise avec mémoire fut en sociologie et portait sur une analyse de régression logistique de la mobilité résidentielle dans l’agglomération de Québec. C’est donc après un long silence créatif, à presque 70 ans, que j’ai récidivé, d’abord en réussissant un bon nombre d’excellents cours en ligne offert à tous, donnant droit à des attestations de réussites. Mes objectifs sont de terminer le doctorat en sociologie, dans lequel je suis admis, et de continuer ensuite mes recherches aux études postdoctorales. »

Corps

Rébecca Chouinard

Diplômée au baccalauréat et à la maîtrise en travail social, étudiante au doctorat en sociologie et étudiante affiliée au VITAM – Centre de recherche en santé durable

Rébecca Chouinard«J’ai fait mon baccalauréat et ma maîtrise en service social à l’Université Laval, et j’y suis toujours comme étudiante, mais au doctorat en sociologie. À l’amorce de mes études universitaires, je n’aspirais pas à la réalisation d’un doctorat. Comme mon intérêt pour la recherche était sans cesse grandissant, j’ai décidé d’embrasser l’aventure! Ma thèse s’inscrit en continuité avec mon mémoire de maîtrise, qui a mis en lumière les stratégies que déploient les professionnelles et professionnels faisant face à une bureaucratie contraignante en Centre jeunesse. Le travail social et la sociologie m’apparaissent comme des disciplines complémentaires, me permettant de jeter un regard sur différentes problématiques à la fois dans une perspective individuelle et structurelle. Ma démarche de doctorat me permet également de cumuler diverses expériences à titre d’étudiante-chercheuse dans un centre de recherche.»