Femme à la peau noire et veston rose sur fond blanc

Doctorat en travail social

90

Crédits

Reconnaissance d'acquis maximale: 10

4 ans

Durée estimée à temps complet

Message important:

Séance d'information disponible pour ce programme

Témoignages

Contenu
Corps

Annick Moreau

Diplômée de la maîtrise en travail social, doctorante en travail social et conseillère en éthique de la recherche au CIUSSS 

Annick Moreau«Ayant œuvré en santé mentale dans des CLSC durant une décennie, le doctorat en travail social s’avérait une continuité dans mon parcours et mon développement professionnel. Les réalités rencontrées dans ma pratique ont fait émerger des questionnements, que j’ai pu analyser dans le cadre de mes différents cours et travaux. Le doctorat est également un espace privilégié pour réaliser ses premières publications et communications, ce qui m’a permis d’avoir un impact tangible pour ma profession avant même le dépôt de ma thèse. Étant mère de deux jeunes enfants et à l’emploi à temps plein dans un CIUSSS, il était impératif que mon cheminement au doctorat se fasse à temps partiel. Pour y arriver, je mise sur la constance dans le nombre d’heures investies dans mes cours ou mon projet de recherche. Bien que cela me demande d’importants efforts, j’aime pouvoir prendre le temps d’analyser des questions qui m’interpellent. L’idée d’être un modèle de persévérance pour mes enfants me motive aussi à poursuivre (et éventuellement, terminer) mon doctorat !»

Corps

Gabrielle Fortin

Diplômée du baccalauréat, de la maîtrise avec mémoire et du doctorat en travail social, professeure adjointe et chercheure régulière au Centre de recherche du CHU de Québec-Université Laval- Axe oncologie ainsi qu’au Centre de recherche sur le cancer de l'Université Laval 

Gabrielle Fortin«Je me suis inscrite au doctorat avec la volonté d’améliorer les pratiques entourant les prises de décision en soins palliatifs. J’ai choisi l’Université Laval considérant l’expertise reconnue de mon directeur de recherche dans mon domaine, ainsi que la flexibilité du programme qui m’a permis de continuer à exercer comme travailleuse sociale tout au long de mes études. Durant mon parcours doctoral, j’ai pu enseigner et travailler comme auxiliaire de recherche dans des projets stimulants. Ces expériences très formatrices ont confirmé mon intérêt pour la carrière de professeure universitaire, ce que je suis devenue en 2020! C’est un travail passionnant et diversifié qui me permet de transmettre ma passion de la profession de travailleuse sociale à la relève, ainsi que de développer des projets de recherche participatifs. En somme, la qualité de la formation que j’ai reçue à l’Université Laval m’a bien outillée pour exercer un leadership rassembleur et faire rayonner la profession et la recherche en travail social.»

Corps

Isabelle Lafleur

Diplômée du doctorat en travail social et agente de recherche à la Direction de la recherche et de l'analyse de l'Office des professions du Québec

Isabelle Lafleur«J'ai terminé un doctorat en travail social en 2000. J'avais fait un baccalauréat et une maîtrise dans une autre université. À l'époque, il était vivement conseillé de faire son doctorat dans une université différente de celle de la maîtrise. Par ailleurs, l'Université Laval était la seule université québécoise où ce doctorat se donnait. J'ai aimé étudier dans cette université près de la communauté. Le doctorat m'a bien outillée pour être autonome et crédible dans mon travail. J'ai travaillé de nombreuses années en recherche et, par la suite, je suis entrée dans la fonction publique québécoise. Même là, des études doctorales servent: j'ai rapidement eu des mandats de travail élargis et travaillé à la relance ou au développement de projets. Pour ce qui est de la discipline, le travail social est applicable et utile pour comprendre et agir sur de multiples problématiques qui se présentent dans différents milieux d'emploi.»
 

Corps

Lisa Ellington

Diplômée du baccalauréat en psychologie, de la maîtrise en travail social, du doctorat en travail social et professeure assistante à l’École de travail social et de criminologie de l’Université Laval 

Lisa Ellington«Après un baccalauréat en psychologie, j’ai fait une propédeutique vers la maîtrise en travail social (c’est une démarche académique qui permet aux personnes qui ne détiennent pas de baccalauréat en travail social de remplir les conditions menant à leur admissibilité à la maîtrise.) J’y ai alors rencontré un corps professoral passionné et rigoureux, qui m’a beaucoup appris et soutenu activement pendant tout mon parcours aux cycles supérieurs. J’ai été entourée de personnes qui rejoignent mes valeurs et celles de la discipline comme l’équité, le respect, l’ouverture d’esprit et la justice sociale. Cela a nourri mon désir de poursuivre des études de 3e cycle en travail social, quelques années plus tard. Pendant mon doctorat, j’ai pu décrocher plusieurs bourses (dont la prestigieuse bourse Vanier), ce qui m’a libéré d’un stress financier tout en me permettant de me consacrer pleinement à mes études. Aujourd’hui, j’ai l’honneur de transmettre à mon tour ma passion pour l’intervention et la recherche en travail social, en tant que professeure assistante au sein de l’École!»