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Crédits
Reconnaissance d'acquis maximale: 10
Crédits
Reconnaissance d'acquis maximale: 10
Durée estimée à temps complet
«Je suis une personne critique, payée pour critiquer. Pourtant, je n’ai que de bons mots pour le programme de maîtrise en affaires publiques de l’Université Laval. Pourquoi? D’abord, pour l’écoute sincère que la direction et son personnel nous offrent. On m’a écouté et proposé la meilleure avenue en lien avec mon expérience professionnelle, mes ambitions et mes besoins. Ensuite, pour la malléabilité du programme qui propose de très nombreux cours à distance. Étant gestionnaire à plein temps, cette souplesse est précieuse et porteuse de succès. Sans cela, je ne pourrais mener mon projet à destination. J’apprécie également la qualité des cours, de l’encadrement, même l’effort qu’il nous faut fournir. L’objectif est clair : le diplôme qui nous sera remis est de grande valeur. Mais, surtout, les cours me sont utiles. Concrètement. Mon nouveau savoir me sert au quotidien, dans mon travail de gestionnaire. Je suis mieux équipé que jamais pour guider mes équipes, pour orienter les décisions de mon organisation. Je connais mieux les bonnes pratiques, les fondements théoriques nécessaires, les concepts-clés, ce qui me permet d’assumer ma fonction avec encore plus de confiance et d’efficacité. »
«Le Département de science politique de l’Université Laval est un milieu dynamique pour la recherche, et les professeurs n’hésitent pas à soutenir et à conseiller celles et ceux qui s’engagent dans la rédaction. La dimension multidisciplinaire du programme de maîtrise en affaires publiques laisse place à l’ouverture quant à la diversité des sujets de recherche que l’on peut y entreprendre. Intéressé par la méthodologie des sondages d’opinion publique et leur utilisation par le gouvernement, j’ai intégré un groupe de recherche, le Centre d’analyse des politiques publiques (CAPP), un environnement de travail évoluant dans un esprit d’échange et de coopération, où je côtoie d’autres étudiants à la maîtrise, mais également au 3e cycle. Bref, une très bonne préparation pour la prochaine étape: le doctorat.»