Webdiffusions en sciences sociales

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Animateurs :

• Marc-André Bodet, professeur agrégé en science politique
• Éric Montigny, professeur agrégé et directeur de programmes de 2^e et 3^e cycle en science politique
• Thierry Giasson, professeur titulaire et directeur du Département de science politique
   

Résumé : Les trois professeurs apporteront un éclairage original sur une élection vécue dans un contexte unique. Ils aborderont les éléments qui caractérisent cette campagne, qui la différencient des autres élections des vingt dernières années, mais aussi ce que les dynamiques partisanes et électorales nous disent sur les dix prochaines années en politique canadienne. Le but n’est pas de commenter l’élection, mais de mieux la comprendre à l’aide des savoirs et expertises propre à la communication politique, à l’étude des partis politiques et des comportements électoraux.

Programmes du Département de science politique

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Animateur : Gérard Duhaime, professeur titulaire au Département de sociologie de l’Université Laval, et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur la condition autochtone comparée et de la Chaire Louis-Edmond-Hamelin

L’Arctique circumpolaire est intégré à l’économie globale comme réservoir majeur de ressources. Rattachées à huit pays, la trentaine de régions qui le composent affichent entre elles de profondes inégalités économiques et sociales : même dans les régions dont la production extractive à grande échelle génère des richesses colossales, des conditions de vie matérielles difficiles demeurent le lot d’un grand nombre d’habitants. Cette conférence propose un voyage à travers ces situations diversifiées en identifiant les inégalités que les statistiques existantes permettent de rendre manifestes. Elle illustre de plus près la condition des peuples autochtones en examinant la situation spécifique de l’Arctique québécois. Elle propose enfin une élucidation de ces systèmes d’inégalités, en mettant en rapport les régimes politiques, l’activité économique et les conditions sociales. Il est ainsi suggéré que les inégalités ne sont pas fortuites ou inévitables, mais qu’elles sont le résultat de processus socialement façonnés auxquels participent les acteurs, dont le pouvoir d’influence est lui-même inégalement réparti.  

Ces travaux illustrent le programme scientifique de la Chaire de recherche du Canada sur la condition autochtone comparée, rattachée à la Faculté des sciences sociales de l’Université Laval. Il porte sur l’analyse des rapports entre l’économie et la société principalement dans les régions autochtones arctiques, et il se déploie par des études de cas, des comparaisons multiscalaires et des études circumpolaires.

Programmes offerts au Département de sociologie

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Animateur : Kevin Moran, professeur agrégé au Département d’économique de l’Université Laval

Résumé :

La pandémie de COVID-19 a grandement perturbé l’économie canadienne : la plupart des indicateurs économiques se sont considérablement détériorés. En réponse à la crise, les gouvernements fédéral et provinciaux ont adopté des mesures fiscales sans précédents historiques pour préserver le pouvoir d’achat de la population et le tissu commercial de nos économies. Ces mesures vont naturellement creuser les déficits publics, faire croître la dette des gouvernements et nous affecter pour de nombreuses années.

La présentation fait un tour d’horizon des conséquences macroéconomiques et fiscales de la pandémie. Elle propose ensuite quelques conjectures à propos de son influence à long terme sur les finances publiques et la capacité des gouvernements à continuer de financer les politiques existantes ou entreprendre de nouveaux chantiers sociaux.

Programmes offerts au Département d’économique 

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Cette webconférence est organisée par la Faculté des lettres et des sciences humaines et met en lumière les expertises de 5 professeur[e]s, dont Ève Dubé, professeure associée au Département d'anthropologie et spécialiste des enjeux de communication liés à la vaccination et Sébastien Tremblay, professeur titulaire à l’École de psychologie et directeur du laboratoire Co-DOT.

En ce 1^er avril, nous nous pencherons sur la désinformation, cette forme extrême du canular dont le but est souvent de créer de la confusion et de la méfiance à l'égard des institutions traditionnellement réputées fiables et qui, pour cette raison, fait planer une menace mortelle sur la démocratie. Qui la produit et qui la consomme? Pourquoi se répand-elle aussi facilement dans les médias socio-numériques? Quels biais cognitifs, sociaux et algorithmiques nous y rendent plus vulnérables? Comment s’en prémunir et par quels moyens la combattre? 

Les invités et invitées vous parlerons de... 

Christian Desîlets, animateur et professeur agrégé au Département d’information et de communication
Faculté des lettres et des sciences humaines

Exposera comment, au croisement du marketing social et de la sociologie empirique, la désinformation s’étudie comme un sous-segment du marché des croyances. 

Denis Jeffrey, professeur titulaire au Département d'études sur l'enseignement et l'apprentissage
Faculté des sciences de l’éducation 

Mettra la table de 2 manières: du point de vue épistémologique, en discutant de la difficulté de définir le concept de désinformation, ou du point de vue philosophique et historique, en expliquant qu'en fait, nous vivons bien plus que nous le croyons dans un univers de fiction et que la vérité est un combat permanent. 

Ève Dubé, professeure associée au Département d'anthropologie et spécialiste des enjeux de communication liés à la vaccination
Faculté des sciences sociales

Traitera de la désinformation dans sa dimension actuelle et abordera le problème de la désinformation sous l'angle de celle pratiquée par les groupes anti-vaccin, sujet brûlant s'il en est en ces temps de COVID. 

Nadia Naffi, professeure adjointe au Département d'études sur l'enseignement et l'apprentissage et titulaire de la Chaire de leadership en enseignement (CLE) sur les pratiques pédagogiques innovantes en contexte numérique – Banque Nationale
Faculté des sciences de l’éducation 

Abordera la problématique sous un 1er angle prospectif: le développement de l'hypertrucage (les deepfakes), soit les logiciels dotés d'intelligence artificielle qui permettent notamment de créer de toutes pièces des vidéos où des personnalités posent des actes et tiennent des propos qu'ils n'ont jamais faits ni tenus (ex.: le faux message vidéo de la reine d'Angleterre diffusé le 1er janvier dernier) et comment contrer la désinformation qui utilise cette technologie.

Sébastien Tremblay, professeur titulaire à l’École de psychologie et directeur du laboratoire Co-DOT
Faculté des sciences sociales

Abordera la problématique sous un 2e angle prospectif, celui des solutions, en abordant les questions de la cognition humaine du traitement de l’information en contexte de désinformation, du développement d'agents intelligents capables de détecter et de signaler sur la Toile les fausses informations, et du développement des jeux éducatifs sérieux qui permettent aux individus de prendre connaissance de leurs biais cognitifs.

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Animatrice : Maripier Isabelle, professeure adjointe au Département d’économique de l’Université Laval

Résumé :

Les inégalités de revenus et de richesse sont bien présentes dans nos sociétés, et comme l’a démontré la pandémie de COVID-19 au cours des derniers mois, certains événements sont susceptibles de les accentuer. En plus de ses impacts sur la cohésion sociale et sur la santé de nos institutions de tels écarts pourraient-ils influencer la santé physique et mentale des individus ? Lorsque nos revenus changent, est-ce seulement le niveau absolu des ressources dont on dispose qui a un impact sur notre santé, ou le sentiment de tirer de l’arrière, même sans diminution de revenu, est-il également susceptible d’influencer notre consommation de soins ? Qu’est-ce que cela peut vouloir dire dans un contexte pandémique… et post-pandémique ? La science économique dispose d’outils novateurs pour répondre à cette question, en s’attardant aux relations de causalité liant respectivement le revenu absolu et le revenu relatif des individus à leur état de santé.

Au cours de cette présentation, nous explorerons des pistes de réponse dans le contexte canadien, afin de mieux comprendre les conséquences de la croissance des inégalités sur notre société, notamment du point de vue de la consommation de soins de santé.

Programmes offerts au Département d’économique

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Animateur : Dan Furukawa Marques, professeur adjoint au Département de sociologie de l’Université Laval 

Résumé :

Depuis une trentaine d’années, à l’ère des crises multiples, des mouvements très différents mobilisent le terme « commun » comme revendication centrale. Pensons notamment aux mouvements contre la privatisation de la nature et des territoires, aux communs numériques, ou encore aux mouvements d’occupation de places comme celui du Parc Gezi à Istanbul, qui se disait être une « commune ». En environnement et urbanisation, des projets dits de transition écologique et sociale comme la gestion commune de ressources, la réappropriation collective d’espaces urbains, les monnaies alternatives, les éco-changes ou les projets de jardins partagés augmentent, gagnent en visibilité et deviennent de plus en plus efficaces. Bien que présentant des particularités propres, ces initiatives se rejoignent dans leurs pratiques égalitaires de « mise en commun » dans la production et l’entretien des ressources. En effet, plusieurs de ces projets semblent mobiliser la forme commune de propriété, adopter les principes d’autonomie et d’autogouvernement, prendre des décisions de manière démocratique et inclusive, potentiellement motivées par des ambitions politiques de transformation de la société.

En bref, cette conférence présentera le concept des communs pour ensuite montrer comment il est mobilisé concrètement à travers quelques exemples de son application au Québec et dans le monde.

Programmes offerts au Département de sociologie

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Durée : 30 minutes. Une période de questions suivra.

Animateur : François Bolduc, professeur agrégé et directeur des programmes de maîtrises en relations industrielles.

Le travail évolue, les RI aussi! Étudier en relations industrielles c’est avant tout développer une expertise unique dans le domaine du travail et de l’emploi afin de devenir les acteurs et les penseurs du travail de demain. Nos programmes de maîtrise vous permettront de développer cette expertise, que ce soit par la réalisation d’un projet de recherche ou encore par la réalisation d’une intervention professionnelle en milieu de travail. Venez en apprendre plus sur nos programmes de deuxième cycle en relations industrielles en participant à cette séance d’information.

Programmes offerts au Département des relations industrielles

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Durée : 40 minutes. Une période de questions suivra.

Animation : Pierre-Marc Daigneault, professeur agrégé et directeur de la maîtrise en affaires publiques , et Eric Montigny, professeur adjoint et directeur de programmes de 2^e et 3^e cycle en science politique , tous deux du Département de science politique.
 

Venez découvrir comment le Département de science politique offre un milieu de vie dynamique où vous pourrez soit contribuer à de stimulants projets de recherche, ou encore bénéficier d’un encadrement rigoureux en acquérant une expérience concrète sur le marché du travail.  

Cette séance d’information vous permettra d’en apprendre davantage sur les différents cheminements de la maîtrise en affaires publiques, ainsi que sur les deux maîtrises en science politique et le programme de doctorat en science politique à l’Université Laval.

Programme du Département de science politique

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Durée : 30 minutes. Une période de questions suivra.

Animateur : Sylvain Luc, professeur agrégé au Département des relations industrielles

Le travail évolue, les RI aussi. Étudier en relations industrielles c’est avant tout développer une expertise unique dans le domaine du travail et de l’emploi afin de devenir les acteurs et les penseurs du travail de demain. Nos programmes d’études couvrent les 4 grands champs d’études : la gestion des ressources humaines, les relations de travail, les politiques publiques de l’emploi et la santé et sécurité du travail.  Venez en apprendre plus sur nos programmes d'études multidisciplinaires en participant à cette séance d’information.

Programmes offerts au Département des relations industrielles

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Animateur : Manuel Paradis, chargé de cours au Département d'économique

Durée: 30 minutes. Une période de questions suivra.

Être économiste c’est utiliser une démarche scientifique rigoureuse pour comprendre le comportement humain et proposer des actions concrètes pour améliorer le bien-être collectif.  Environnement, santé, criminalité, finance, transport, pauvreté, discrimination sont autant de domaines où l’économiste peut faire une différence. 

Cette séance d’information vous permettra d’en savoir davantage sur les nombreux programmes de 1^er cycle en économique.

Programmes offerts au Département d’économique 

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Durée : 30 minutes. Une période de questions suivra.

Animation : Membres de l’équipe de la gestion des études de la Faculté des sciences sociales

Cette séance d’information spécifique aux études supérieures de la Faculté vous permettra d’en savoir davantage sur :

• les avantages à poursuivre vos études aux cycles supérieurs
• des exemples de stages et de sujets de recherche
• le soutien financier disponible
• les perspectives professionnelles
• et plus encore!

Vous aurez aussi l’occasion de poser vos questions aux animateurs.

Programmes aux cycles supérieurs de la Faculté des sciences sociales

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Durée : 40 minutes. Une période de questions suivra.

Animatrice : Isabelle Henrion-Dourcy, professeure titulaire et directrice des programmes de 2^e et 3^e cycle au Département d'anthropologie. Avec la participation d’étudiantes et d’étudiants de maîtrise et de doctorat en anthropologie : Justine Auclair, Sarah Bourdages-Duclos, Jean-Mozart Féron, Şükran Tipi, et Alexandre Tremblay.

• Vous souhaitez développer une réflexion solide et critique autour d’un enjeu important du monde d’aujourd'hui ? 

• Vous voulez connaître les débouchés professionnels d’une formation approfondie en anthropologie sociale et culturelle ? 

• Vous souhaitez mieux connaître les programmes de maîtrise ou de doctorat en anthropologie à l’Université Laval ? 

Cette séance d’information vous donnera un aperçu des compétences acquises dans chacune de ces deux formations et de la structuration des programmes. Elle sera co-animée par des étudiantes et des étudiants, qui présenteront des exemples concrets de projets de recherche en cours. Les études supérieures en anthropologie prennent ainsi à bras le corps des questions d’actualité portant, entre autres, sur le pouvoir et la justice sociale, la santé et le mieux-être, la nature et l’environnement, les sciences et le religieux, l’éthique et les droits de la personne, le développement international et l’économie, les arts et les nouvelles technologies, ou les mobilités et les revendications autochtones et des minorités.

Programmes offerts au Département d’anthropologie 

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Animatrice : Anessa L. Kimball, professeure agrégée au Département de science politique et directrice du Centre sur la sécurité internationale à l’École supérieure d’études internationales 

 Résumé :  

En raison de sa situation géographique privilégiée et de ses relations solides de longue date avec les États-Unis, les experts canadiens en matière de défense ont généralement considéré la défense territoriale comme une évidence. Au cours des quatre dernières années, le président Trump a multiplié les frictions dans les relations bilatérales, allant même jusqu’à douter de la raison d’être de l’OTAN et à refuser les contributions de l’ONU. La défense territoriale du Canada repose tacitement et directement sur un certain nombre d’accords et d’hypothèses concernant la volonté des États-Unis de consulter le Canada sur les questions de défense continentale. Le développement du système de défense contre les missiles balistiques (DMB) en Amérique du Nord place le Canada dans un scénario fragile où il doit compter sur la volonté des États-Unis d’exécuter une défense territoriale sans externalités négatives pour le Canada, un espoir géostratégique donné au Canada se situant entre le lancement de tout missile et une cible territoriale américaine. Le Canada ne peut plus conserver sa politique de défense myope et doit faire face aux nouvelles réalités géostratégiques du système international. 

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Animatrice : Natacha Gagné, professeure titulaire au Département d’anthropologie et directrice des programmes de 1er cycle en anthropologie. Avec la participation d’étudiants et diplômés du baccalauréat en anthropologie : Stéphanie Dumouchel, Yasmine Fontaine, Mathieu Larivière et Benjamin Malo.

• Vous souhaitez connaître les atouts d’une formation en anthropologie sur le marché du travail? 

• Vous voulez savoir comment l’anthropologie est branchée sur les enjeux de notre temps ?  

• Vous souhaitez mieux comprendre ce qui particularise le programme offert à l’Université Laval ? 

Cette séance d’information mettra l’accent sur ce qui distingue le baccalauréat en anthropologie de l’Université Laval : la formation pratique. Celle-ci prépare concrètement au métier d'anthropologue et est unique au Québec. Elle constitue une initiation au marché de l’emploi, à la recherche ou au terrain ethnographique, au Québec ou à l'étranger. Elle est une occasion de prendre part à des projets qui concernent des enjeux importants et souvent brûlants d’actualité.  

Cette séance sera également l’occasion de donner un aperçu des programmes courts offerts par le Département d’anthropologie, lesquels peuvent s’insérer dans la composition d’un baccalauréat multidisciplinaire ou servir de formation complémentaire dans un secteur particulier d'intervention pour les personnes déjà insérées sur le marché du travail. 

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Animateur : François Bernard Malo, professeur titulaire au Département de relations industrielles de l’Université Laval 

• Vous souhaitez connaître ce nouveau microprogramme de 2^e cycle en ressources humaines? 
• Vous détenez un baccalauréat en relations industrielles ou en administration des affaires avec une spécialisation en gestion des ressources humaines? 
• Vous possédez une expérience significative d'au moins 2 ans sur le marché du travail? 
• Vous souhaitez développer des compétences avancées en ressources humaines dans les organisations?

Cette séance d’information vous démontrera comment ce programme de formation continue peut outiller les professionnels en ressources humaines en exercice, parfaire leurs connaissances sur des sujets actuels, et développer les compétences requises au 21e siècle pour agir à titre de leaders de la créativité et des innovations afin de résoudre des problèmes complexes dans leur domaine. 

Programmes offerts au Département de relations industrielles 

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Animateur : Guy Lacroix, professeur titulaire au Département d'économique de l’Université Laval

Résumé :  

Au Québec, plus de 35 000 Québécois font un séjour dans un centre de détention provincial chaque année. Environ la moitié d’entre eux seront de nouveau condamnés à purger une peine à l’intérieur de deux ans suivant leur sortie de prison.   Les détenus en établissement ont été condamnés en moyenne à 4,4 reprises et ont une durée cumulative de « carrière carcérale » de 44,5 mois.  Les professionnels des Services correctionnels utilisent divers outils pour évaluer le risque de récidive et déterminer les besoins criminogènes à cibler.  Découvrez comment la science économique et l’intelligence artificielle peuvent être utilisées pour aider à prédire le risque de récidive et mieux cibler les besoins des contrevenants.

Programmes offerts au Département d’économique